Les romans du XIXe siècle
Le roman va devenir le genre dominant dans sa
distribution de masse entretenu par l’éducation publique croissante et le
développement de la presse et des feuilletons dans la seconde moitié du siècle.
La plupart des auteurs sont de la classe moyenne et vivent maintenant de leur
plume (parfois très bien comme Hugo, Zola ou de Maupassant …). Le roman devient
un fourre-tout genre autour d’un minimum de base: la prose narrative, une
période relativement longue, avec un degré d’imagination et de se concentrer
sur les moments de la vie des personnages. La typologie est clairement discuté,
mais certaines grandes lignes de force sont bien définis.
Le roman de l’auto
Fermer les Mémoires imposante autobiographie illustrée
par delà le tombeau de Chateaubriand (1848), le roman autobiographique à la
première personne est le début du siècle avec un goût pour les confessions
intimes cachés derrière un candidat dans le lyrisme et le narcissisme combinant
à explorer le mal de vivre une génération. Il est l’une des contributions
importantes du romantisme dans la littérature avec des œuvres telles que
personnelle de René (Chateaubriand -1802), Corinne (Madame de Staël -1807), Adolphe
(Benjamin Constant -1816) ou La Confession d’un enfant du siècle (Musset –
1836).
Le roman historique
Walter Scott a fait le genre en vogue du roman
historique. Les écrivains cultivent la nostalgie et pittoresque avec une vue à
la littérature (parfois lourdes) et la recréation du passé, en mélangeant des
personnages imaginaires et des événements à caractères historiques et des
actions. Des copies de certains titres: Les Chouans (Balzac – 1829), Cinq-Mars
(Vigny – 1828), Notre-Dame de Paris (Hugo – 1831), Les Trois Mousquetaires
(Alexandre Dumas – 1844), Le Bossu (Paul Féval – 1858 .) Le genre s’étend au
long du siècle avec quelques œuvres remarquables comme Le Roman de la momie
(Gautier – 1857), Salammbô (Flaubert – 1862), Quatre-vingt-trois (Hugo – 1874)
…Il est cependant contestée par le genre de roman voisine de série qui a fait
la fortune de la presse et le bonheur des prosateurs comme Eugène Sue avec Les
Mystères de Paris (1842-1843) et sa fresque colorée et la société moraliste de
l’époque.
Le roman réaliste
Le roman réaliste est une catégorisation discutable, et
largement discuté à nouveau aujourd’hui. Mais on peut retenir un objectif
esthétique claire: pour produire un «effet de réel» par la peinture avec une
attention aux détails et les ensembles de probabilité, des personnages et des
faits. Expressions de Stendhal (roman = miroir) ou Balzac (auteur de cet
historien =) montrent dans la première moitié du siècle un moyen d’approfondir
Gustave Flaubert et Maupassant (préface de Pierre et Jean) et Zola et le
naturalisme. Le roman de l’nineteenthcentury sera parallèlement un fort accent
sur l’apprentissage de nouvelles, accompagnant les débuts dans la vie sociale
des personnages.
La fin du siècle, cependant, est marquée par une réaction
contre le réalisme considéré comme trop ‘faible’ d’attitude et «idéaliste»
associée à un retour à la perspective religieuse avec Huysmans (Rebours –
1884), Léon Bloy (Le Désespéré – 1886 ) ou Maurice Barrès (La -1897
déracinées).D’autres ouvertures apparaissent comme un exotique, impressionniste
et réaliste de l’époque de Pierre Loti (Pêcheur Islande-1886) et la naissance
de la nouvelle analyse de la «pré-proustienne» avec Paul Bourget (Le Disciple –
1889) et Anatole France (Le Lys Rouge – 1894).
Stendhal (1783-1842) a laissé des romans importants, avec
des icônes comme Julien Sorel et Fabrice del Dongo dans Le Rouge et le Noir
(1830) et La Chartreuse de Parme (1839), laissant inachevée Lucien Lucien
(1835). Entre romantisme et réalisme, l’étiquette qu’on lui attribue est
également discutable.
Honoré de Balzac (1799-1850) est un créateur exceptionnel
et auteur d’une œuvre immense qu’il a intitulé La Comédie humaine retardée par
classer en trois groupes de 91 romans, histoires courtes écrites entre 1829 et
1848. Le plus grand groupe (de loin) est l’étude des mœurs divisé en «scènes de
la vie privée» (Père Goriot Le Colonel Chabert …), des «scènes de la vie
provinciale» (Eugénie Grandet, Le Lys dans la vallée, Illusions perdues),
«scènes de la vie parisienne» (César Birotteau, La Cousine Bette, …), des
«scènes de la vie politique» (Une matière noire …), des «scènes de la vie
militaire’ (Les Chouans …) et des «scènes de la vie du pays »(Le Médecin de
campagne …).Puis il ya les études philosophiques (La Peau de chagrin, Louis
Lambert, Le Chef-d’œuvre inconnu …), travaux récents apportant plus de
fantaisie que le réalisme et le mysticisme. La Comédie humaine comprend
également des études analytiques (La Physiologie du mariage).
Beaucoup d’écrivains sont aussi impliqués dans la
création de roman dans la seconde moitié du siècle. Les frères Goncourt (Edmond
et Jules), avec une attention aux détails et descriptif écrit «artiste»
(Germinie Lacerteux – 1865), Alphonse Daudet (The Little Things – 1868) et
Jules Vallès (L’Enfant – 1879) relatives au genre réaliste. Discute romans de
Jules Verne aventures et d’anticipation avec les Cinq Semaines en ballon en
1863.
Le roman social
En plus de ces œuvres-clés de la première moitié du XIXe
siècle, le roman social (et parfois en milieu rural) trouve sa place dans la
littérature avec des textes de George Sand (Consuelo – 1842, -1846 La Mare au
Diable, La Petite Fadette – 1849) et, plus tard, avec la grande fresque
humaniste Victor Hugo, Les Misérables (1862).
Le roman naturaliste
Emile Zola (1840-1902) fut le dernier grand romancier du
siècle:Il théorise l’expérience romaine (1880) donne le naturalisme et le
réalisme bien au-delà convenance et même en tenant compte de la physiologie,
l’ambition scientifique en voulant montrer l’influence du milieu sur les
individus. Son travail, Les Rougon-Macquart (sous-titré histoire naturelle et
sociale d’une famille sous le Second Empire) est un court roman de 20 volumes
avec plus de cinq générations les conséquences du déterminisme physiologique,
sociale et diverses manifestations d’un défaut initial. Ses romans puissants,
souvent dramatiques, parfois épiques, montrent une image critique de la société
du Second Empire à la dénonciation de l’immoralité des riches comme dans The
Kill (1872), Nana (1879), L’Argent (1891) et … sa compassion pour le peuple et
ses souffrances individuelles et collectives, par exemple dans la Gervaise
Assommoir (1877), les agriculteurs de La Terre (1887), les mineurs de Germinal
(1885), les soldats dans la chute (1892) …
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