viernes, 13 de noviembre de 2015

Le théâtre du XIXe siècle

Le théâtre du XIXe siècle


Le théâtre est un plaisir pour tous les niveaux de la société au cours du XIXe siècle avec une grande variété de lieux et de genres. C’est aussi le moment de l’extraordinaire renommée en tant qu’acteurs de Talma, Frédérick Lemaître (cf. film de Marcel Carné Les Enfants du Paradis), Marie Dorval, Rachel et Sarah Bernhardt tard.

Le texte théâtral connaît cependant un nouveau bail avec le drame romantique qui est nécessaire au cours d’une décennie de 1830-1840 en affirmant, comme Victor Hugo dans la préface de Cromwell en 1827, une sensibilité esthétique, la liberté et la vérité avec le rejet des règles traditionnelles et la distinction des genres et des tons, la recherche de la couleur locale avec des sujets de l’histoire du XVIe et XVIIe siècles et l’utilisation de prose ou de Victor Hugo, l’Alexandrin libéré. Les oeuvres majeures de cette période sont: Hernani (1830) et Ruy Blas (1838) de Victor Hugo, On ne badine pas avec l’amour (1834) et Lorenzaccio (1834 – non montré) Musset, Chatterton (1835) de Vigny, Kean (1831) et La Tour de Nesle (1832) d’Alexandre Dumas et, plus tard, dans une catégorisation difficile, La Dame aux Camélias d’Alexandre Dumas fils (adapté en 1852 de son propre roman, que Zola avec Renée sera également adapté de The Cure).

Le drame romantique, complexe de représenter et de mode, puis cèdent la place aux effets forcés mélodrame avec rebondissements et la victoire du bien sur le mal qui en feront un genre populaire avec un grand succès, mais qui n’a pas vraiment de conserver l’histoire littéraire.

D’autres formes de théâtre vivre dans le siècle suivant, pour le théâtre du boulevard par exemple avec des animations de vaudeville et de satire qui combine traditionnel et illustré par Labiche, Feydeau et Courteline. Théâtre musical sera également entrer dans la seconde moitié du siècle, l’opérette et opéra comique qui sont des oeuvres représentatives d’Offenbach.

L’histoire littéraire se souvient des tentatives de renouveler à la fin du siècle, comme le Théâtre Libre et naturaliste regarde dramatique et sombre sur le monde contemporain (Henry Becque: Les Ravens – 1882, Octave Mirbeau: affaires sont les affaires – 1903) ou le théâtre symboliste avec son puissance de suggestion de lettres et poétique (Maeterlinck Pelléas et Mélisande en 1892 qui va de Debussy la musique).
Il conserve aussi quelques autres aspects uniques de la période comme un théâtre burlesque de la provocation par Alfred Jarry (Ubu Roi – 1888), le théâtre à la fois lyrique et épique, avec Alexandrie flamboyante d’Edmond Rostand (Cyrano de Bergerac -1899 L’Aiglon – 1900 ) ou les œuvres de jeunesse, catholique et patriote, de Charles Péguy (Jeanne d’Arc – 1897).

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