Le théâtre du XIXe siècle
Le théâtre est un plaisir pour tous les niveaux de la
société au cours du XIXe siècle avec une grande variété de lieux et de genres.
C’est aussi le moment de l’extraordinaire renommée en tant qu’acteurs de Talma,
Frédérick Lemaître (cf. film de Marcel Carné Les Enfants du Paradis), Marie
Dorval, Rachel et Sarah Bernhardt tard.
Le texte théâtral connaît cependant un nouveau bail avec
le drame romantique qui est nécessaire au cours d’une décennie de 1830-1840 en
affirmant, comme Victor Hugo dans la préface de Cromwell en 1827, une
sensibilité esthétique, la liberté et la vérité avec le rejet des règles
traditionnelles et la distinction des genres et des tons, la recherche de la
couleur locale avec des sujets de l’histoire du XVIe et XVIIe siècles et
l’utilisation de prose ou de Victor Hugo, l’Alexandrin libéré. Les oeuvres
majeures de cette période sont: Hernani (1830) et Ruy Blas (1838) de Victor
Hugo, On ne badine pas avec l’amour (1834) et Lorenzaccio (1834 – non montré)
Musset, Chatterton (1835) de Vigny, Kean (1831) et La Tour de Nesle (1832)
d’Alexandre Dumas et, plus tard, dans une catégorisation difficile, La Dame aux
Camélias d’Alexandre Dumas fils (adapté en 1852 de son propre roman, que Zola
avec Renée sera également adapté de The Cure).
Le drame romantique, complexe de représenter et de mode,
puis cèdent la place aux effets forcés mélodrame avec rebondissements et la
victoire du bien sur le mal qui en feront un genre populaire avec un grand
succès, mais qui n’a pas vraiment de conserver l’histoire littéraire.
D’autres formes de théâtre vivre dans le siècle suivant,
pour le théâtre du boulevard par exemple avec des animations de vaudeville et
de satire qui combine traditionnel et illustré par Labiche, Feydeau et
Courteline. Théâtre musical sera également entrer dans la seconde moitié du
siècle, l’opérette et opéra comique qui sont des oeuvres représentatives
d’Offenbach.
L’histoire littéraire se souvient des tentatives de
renouveler à la fin du siècle, comme le Théâtre Libre et naturaliste regarde
dramatique et sombre sur le monde contemporain (Henry Becque: Les Ravens –
1882, Octave Mirbeau: affaires sont les affaires – 1903) ou le théâtre
symboliste avec son puissance de suggestion de lettres et poétique (Maeterlinck
Pelléas et Mélisande en 1892 qui va de Debussy la musique).
Il conserve aussi quelques autres aspects uniques de la
période comme un théâtre burlesque de la provocation par Alfred Jarry (Ubu Roi
– 1888), le théâtre à la fois lyrique et épique, avec Alexandrie flamboyante
d’Edmond Rostand (Cyrano de Bergerac -1899 L’Aiglon – 1900 ) ou les œuvres de
jeunesse, catholique et patriote, de Charles Péguy (Jeanne d’Arc – 1897).
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