viernes, 13 de noviembre de 2015

La riche littérature du XIXe siècle

La riche littérature du XIXe siècle

La poésie du XIXe siècle


Romantisme
Romance nourrit toute la première moitié de la poésie nineteenthcentury et spécifiquement les années 1820 – 1850: par convention, les Méditations poétiques de Lamartine en 1820 à Contemplations de Victor Hugo en 1856.Le mouvement esthétique européenne est un endroit spécial dans le lyrique et l’effusion de l’ego avec un penchant pour la mélancolie des poètes seront ensuite exprimer leur malheur et la souffrance affective de méditation sur la mort, sur Dieu, sur l’amour et le passage du temps, la nature et gloire, et au-delà de ces thèmes traditionnels lyrique de la fonction du poète (Hugo) et une perception de la fantaisie la plus originale avec Gérard de Nerval, Charles Nodier ou Aloysius Bertrand. Au-delà des thèmes pas toujours novateurs, des poètes romantiques se presse pour la relaxation du verset terme dans la recherche d’une plus grande musicalité et d’audace en quelques mots et en images, surtout Victor Hugo.
Cette nouvelle recherche se fera également par le terme «invention» Le poème en prose d’Aloysius Bertrand (1807 – 1841) dans Gaspard de la nuit, publié après sa mort en 1842, où il nous emmène dans un monde de rêve, et qui initie une forme qui va reprendre plus tard Baudelaire et Rimbaud.
Poésie d’une certaine sensibilité et la musicalité, la poésie romantique se complaît dans des poèmes plus longue que la prochaine génération trouverez lourds, oratoire, bavard et convenu (Rimbaud parle de «l’ancienne forme’), avec des exceptions notables comme Nerval et sa collection de rêves (1854), certains poèmes de cette période sont, cependant, les pièces de référence qui affectent encore le lecteur d’aujourd’hui.
Alphonse de Lamartine (1790-1869): l’initiateur, et les paroles religieuses. Code: Méditations Poétiques (1820) (poèmes:. Le lac – la vallée …) – Harmonies Poétiques et Religieuses (1830).
Alfred de Musset (1810-1857) sensible et émouvant: Nuits (1835-1837).
Alfred de Vigny (1797-1863), métaphysique et sombre: Les poèmes prévu (1864) (: La corne – Moïse – La Mort du Loup – La Maison du Berger …).
Victor Hugo (1802-1885) couvre l’ensemble des formes de poésie siècle. Collections: L’Est (1829) (poème Les Djinns) – les feuilles d’automne (1831) (Ce siècle avait deux ans …) – Les Chants du crépuscule (1835) (les graines) – les voix intérieures (1837) (A Eugene H. Vicomte) – Les Rayons et les ombres (1840) (Fonction du poète – Tristesse d’Olympio – Oceano Nox) – Les Châtiments (1853) (O soldats de l’an deux – Souvenir de la nuit 4 – Le Grand Pardon :«Il neigeait … / Waterloo’) – Les Contemplations (1856) (Demain dès l’aube … – A Villequier – Le Mendiant – Les mots de la bouche des ténèbres) – La Légende des Siècles (1859 -1883) (Conscience: Caïn – Booz endormi – L’aigle du casque – les pauvres).
Gérard de Nerval (1808 – 1855), dense et mystérieuse: La Chimère
Parnasse
En réaction contre l’effusion égocentrique du romantisme, un mouvement se dessine: le Parnasse, qui mettra l’accent sur la poésie du poète et de travail formel développe une théorie de «l’art pour l’art». Cette école, héritière de Théophile Gautier, est représentée principalement par Leconte de Lisle (1818 – 1894) avec ses Poèmes antiques (1852 – 1874) et les barbares Poèmes (1862 – 1878), et Théodore de Banville (1823 – 1891) (Odelettes – Odes en 1857 et de l’animation contemporaine grotesque de la revue du Parnasse).
L’influence de ce mouvement ne doit pas être négligé: la densité et l’expression seront sélectionnés par les poètes suivants et ceci est à dédier Gautier Baudelaire Les Fleurs du Mal et de Théodore de Banville que les jeunes Rimbaud a écrit en 1870.Collection de trophées tardive de José-Maria de Heredia en 1893 reflète également la continuité de l’approche parnassienne, symbolisée par la forme contraignante du sonnet.
Charles Baudelaire (1821 – 1867) est l’un des grands poètes du XIXe century.Combining le désir formel de courts poèmes (ou plutôt court) et le réalisme (une charogne – Tableaux parisiens …) à une expression de l’angoisse partagée entre le Spleen et Idéal (Harmonie du soir – La cloche fêlée – La mort du pauvre, il a un succès «alchimie poétique» exemplaire en extrayant les fleurs du mal dans son livre publié en 1857 (en partie condamné pour obscénité) qui contient ce verset révèle: ‘ Tu m’as donné ta boue j’ai fait de l’or. ‘Poète du monde réel de la beauté, le bonheur et la souffrance, la morbidité et le péché, il a fondé en grande partie sur le type du poète tourmenté et inapproprié dans le monde. Baudelaire a également été donné à la prose poème de sa réputation avec son petit poème en prose (Le port – un hémisphère dans une chevelure …).

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